Le choc du coup envoya valser Caleb. Puis son père le pris par le col de la chemise et le souleva encore une fois. Les pieds de l’enfant pendouillé tristement, totalement inanimé. Ses yeux ne reflétaient rien, ni haine, ni colère, ni douleur. Tel n'était pas le cas de son père. Il était rouge comme les flammes, les yeux exorbités, fou de colère. Il risquait la crise cardiaque. De loin sa mère regardait la scène, les larmes sillonnant son visage fatigué. Elle n'osait intervenir de peur d'aggravée le cas. Le père du jeune Caleb, Monsieur Paul Watson, secoua son fils de plus belle mais rien ne se produisit. Les yeux bleu de son fils restaient inanimés, son visage figé dans une sorte de calme et d'ennuis. Cette absence de réaction énerva encore plus M. Watson.
-Mais, vas-tu répondre, saleté de gosse !?!
Le petit ne daigna même pas de lever les yeux vers son paternel. On aurait pu croire qu'il était autiste. Cependant, cela n'était pas le cas. Caleb restait inerte pour faire comprendre qu'il ne cèderait pas sous les coups. Qu'il ne répondrait pas par des pleurs enfantins. Caleb était habitué à ce genre de scène. N'importe quel évènement de la banalité sans nom aurait pu déclencher cette colère. Cette fois-ci, c'était le vol d'un morceau de pain perpétrais par la sœur de Caleb, Melle Gabrielle Watson. Il lui restait encore de la sauce dans son assiette et chaque personne avait le droit à deux morceaux de pain par repas. Sauf Paul bien sûr, puisqu'il était "L'Homme" de la maison. La sœur de Caleb, pleurait et prier en silence le Bon dieu pour que son père ne frappe pas trop durement Caleb. Car bien évidement, c'est Caleb qui était obligatoire l'auteur de se crime. Il ne s'était pas défendus, car il voulait protéger sa sœur. L'instinct fraternel dit-on.
D'un coup, il lâcha Caleb et se dirigea a grand pas vers Melle Gabrielle. La fillette recula, totalement apeurer. Son père la saisi par les cheveux dans une extrême violence. Caleb réagit au quart de tour. Il se releva précipitamment et s'approcha guettant les gestes de son paternel. M. Watson regarda son fils avec un air de victoire dans les yeux.il avait réussi à le faire réagir.
-Mon fils si tu ne t'excuse pas, je pense que notre chère Gabrielle risque dans souffrir.
On peut se demandé comment un tel père peut exister. Les yeux inexpressifs de Caleb changèrent du tout au tout. Ses yeux devinrent bleus foncés de fureur. Disparut, l'innocent enfant à l'air d'autiste. Les flots des larmes s'écoulant de la mère et de la fille s'accentuèrent. Caleb regarda fixement son père pendant quelques secondes. Un combat terrible. La pièce était remplie de silence, coupé par les reniflements de Gabrielle. Finalement Caleb céda. Il se tint droit puis s'inclina devant son père.
-Je m'excuse mon père, je n'aurais pas du prendre votre morceaux de pain.
Sa voix tremblait de colère mal contenu. Dieu qu'il détestait cet homme. L'être vil qu'étais Paul, lâcha sa fille, ravie d'avoir fait céder Caleb. Puis dis d'une voix doucereuse.
-Comme tu as bien mangé ce midi, je pense que tu peux te passer de repas pendant vingt-quatre heures.
Caleb serra les poings puis acquiesça. La bataille de cette journée venait de s'achevé.
*******
Mme Blanchet était l'archétype de la prof de mathématique. La cinquantaine dépassée, les cheveux grisonnants et le caractère acariâtre au possible. Des vêtements démodés et des auréoles sous les bras. On pouvait imaginer que son haleine s'approchais du vautour ou bien de la hyène, à vous de voir. Elle notait très sévèrement et sanctionné dès qu'elle en avait l'occasion. Ses petits yeux noirs vous fixaient et vous forcez à avouer votre faute. Pour des exercices non fais, une heure de colle minimum. Et vous deviez vous estimer heureux .A chaque cours, un élève allait visiter le bureau du proviseur ou de la CPE. Mme Blanchet était une femme détesté des élève mais cependant une excellente prof' de Maths. Du moi c'est ce que pensais Caleb, qui l'avait écopé trois ans de suite. Quand Mme Blanchet eu fini de marquer les équations de premier degré, elle observa les élèves tentant de repérer une action immorale au sein de la classe. Gare à celui qui sortait son portable en cours pour envoyer un SMS. Comme à la grande habitude de la classe lorsqu'elle était en cours avec cette dame d'un certain âge, on pouvait entendre une mouche voler. Tous étaient penchés sur le cahier, tentant de résoudre ces équations d'une difficulté habituelle. Tous ? Non. Caleb, qui était assis au dernier rang, celui des cancres, regardait par la fenêtre en quête d'une distraction qui pourrais le sortir de cet ennuie quotidien. Seulement pour se distraire ? Pas vraiment. Le jeune homme essayé de se vider l'esprit et de contenir son chagrin. Malgré tous, en s'approchant de lui, il été palpable. Une sorte de couverture l'enveloppait et lui étouffait le cœur déjà bien meurtrie.Mme Blanchet, l'une des rares à savoir, le regarda avec une ombre de tristesse dans les yeux. Elle appréciait beaucoup Caleb, malgré son caractère assez...étrange. Les autres professeurs avaient du mal à le voir en peinture .Il été désespérément seul et même si il ne disait rien, son cœur criait à l'aide. Mme Blanchet savait, surtout aujourd'hui, qu'elle ne pourrait rien faire. Aujourd'hui, personne ne pourrait rien faire pour lui appliquer un peu de baume au cœur. Alors, lors de l'une des rares fois de sa carrière, elle laissa passer ce moment d'inattention. On toqua discrètement trois coup à la porte de la salle 202 .Il était 13 heures 25 minute exactement. Caleb releva la tête, au bord des larmes. Il se leva en silence tandis que Mme blanchet d'une voix froid cria.
-Entrez
La porte s'entrouvrit, laissant apparaître la tête d'un des pions préféré du collège. Caleb, mis son sac sur le dos et accompagna le pion sous le regard étonné de certains élèves. Personne ne le connaissait réellement. Ses yeux et ses cheveux blancs ainsi que son attitude décourageaient la plus part des élèves de l'aborder. Il s'entendait plus facilement avec les adultes. Mme Blanchet aperçut, sous les néons bons marchés du collège, une larme roulant sur le visage de Caleb. La porte se referma dans un claquement sonore. Les élèves retournèrent à leurs petites occupations
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Pourquoi pleuvait-il toujours lorsque Caleb se rendait au cimetière ? C'était l'une des questions auxquelles personnes ne pourraient répondre. Le ciel, bien que l'on soit en milieu de journée, était noir d'encre comme le cœur du jeune homme. Les larmes de se dernier se confondaient avec la pluie lorsqu'elles avait finie de s'écouler. Finalement, on aurait pu émettre l'hypothèse qu'il pleuvait pour cacher la douleur du jeune Caleb. Hypothèse peut valable, je vous l'accorde. Cependant, Londres n'était pas réputé pour sa météo resplendissante.
Les arbres, dépourvus de feuilles, s'agitaient comme des squelette possédaient. La terre avait été remplacé par de la bout. Cette dernière témoignée des nombreuse allés et venus des visiteurs de ce cimetière. Caleb était agenouillé devant une tombe à l'aspect propre et entretenu. Un énorme bouqué de rose avait été disposé devant la pierre tombale qui portait l'inscription suivante...
Melle Gabrielle Watson
1998-2004
Aucune phrase sentimentale accompagnait la triste défunte. Melle Gabrielle Watson était la petite sœur de Caleb Watson. Aucune personne de l'entourage de Caleb ne connaissait les origines de ce triste décès, excepté M Wolf. M Wolff était un homme dans la force de l'âge. Il devait avoir entre 40 et 42 ans. Ses cheveux et ses yeux étaient d'un brun chocolat .Il était le père adoptif de Caleb. Ce dernier lui nourrissait une affection particulière cependant, elle ne ressemblait pas à l'affection d'un fils à son père. On pensait que Caleb ne pourrait plus jamais émettre ce genre d'affection. Et, pour une fois, les psychologues n'avaient pas forcément tord. M Wolf regardait Caleb avec inquiétudes. Depuis déjà 4 ans , il attendait que Caleb en ai réellement fini avec son deuil. M Wolf, était un médecin émérite connu dans le monde de la science pour quelque découverte sans réelle importance. C'était un notable au poche bien renfloué, qui avait adopté 3 enfants en plus de Caleb.
"Il a la main sur le cœur " disait-on. Cependant, même M Charles Wolf avait souvent su mal à comprendre Caleb et exécutait parfois des mouvements de reculs quand l'enfant le regardait avec ces yeux bleus si dérangeant.
*****
La nuit finissait d'étendre son emprise sur Londres lorsque Caleb décida de rentré chez lui. Il avait passé l'après-midi à sécher les cours comme à sa grande habitude. Il voulait éviter les bagarres après la sortie des cours. Beaucoup d'élève voulait le testé et il courrait des rumeurs comme quoi, Caleb était un as du combat. Ce que personne ne savait, c'est que Caleb ne pratiquait pas l'art du combat mais l'art de la danse brésilienne de combat, la Capoeira. Il avait découvert ce sport et y a avait tout de suite adhéré... Il en pratiqué depuis maintenant 3 ans. Plongé dans les monceaux de sa mémoire, Caleb n'entendit pas les pas précipité et donc ne s'attendais pas à se retrouvé projeté contre le mur après un droit directe qui l'atteint en plein visage. Quatre lycéens avaient finalement réussi à le retrouver.
-Et le monstre, t'es finalement pas si fort que ça, hein ?
"Le monstre». La bêtise et la méprise humaine n'avaient finalement pas de limites. C'était bien dommage. Ce surnom venait du fait que les yeux bleu de Caleb ne réfléchissaient ses sentiments. Si il était capable dans éprouvais. L'un des lycéens se figea en apercevant une espèce de grand sourire au niveau de Caleb.
-Eh, les mecs, c'est quoi ça ?
-Ca, mes chers c'est ce que l'on appelle un sourire. Mais sourire est sans doute trop intelligent pour vous n'est-ce pas ?
Caleb se releva. Son expression faciale avait changé. Ses yeux pétillaient de malice et peut-être d'une pointe de folie. Sa bouche portait le sourire n°2.Le sourire Machiavélique. D'une voix douce, joyeuse, il parla étonnant les quatre compères.
-Chess, te voilà enfin, j'ai bien crus que j'allais devoir me battre seul.
-Voyons Cal, Voyons, je ne raterais une de tes légendaires dérouillées pour rien au monde.
-Chess, tu me touches énormément. Ne crois-tu pas qu'il te faudrait prendre ta véritable apparence ? Je crois que tu effraies nos amis.
-Si tu insistes tant ...
-Moi insisté ? Jamais de la vie, je souhaite juste être poli...
L'étrange bouche et le tout aussi étrange personnage sourire à l'unisson. Les Lycéens étaient affolés. Cependant, ils étaient réellement idiots pour ne pas penser à fuir.
-Eh bien soit !
Autours de la bouche se dessina un gros chat avec de grand yeux globuleux. Il lévitait juste à côté de Caleb. Ce dernier se releva et sortie le sourire n°3 au agresseur. Celui qui terrifie totalement les petites âmes. Un des Lycéens, dont l'idiotie avait atteint le paroxysme, décida quand même de ce battre. Il envoya un coup de genou vers dans le ventre de Caleb. Ce dernier regarda avec amusement le genou traversé son corps. Il ne sentait rien à part un léger chatouillement. Il regarda de ces étranges yeux bleus les lycéen.
-Je suppose que je devrai me tordre de douleur n'est ce pas Chess ?
-Tu supposes bien mon cher .
Les Lycéen s'enfuirent en hurlant au monstre tandis que Chess et Caleb étaient hilares.
-Mon cher, je crains que tu n’es encore des soucis à te faire.
-L'habitude Chess, l'habitude
L'étrange Chat disparut et Caleb repartit toujours aussi amusé.
In reality, I am...
♦.Pseudo/Prénom ~ Husky, Ami, Pomme, La gamine…Platypus
♦. Âge: ~14 ans
♦. Ce que vous aimez/détestez: ~ Aime la musique les cookie un tas d’autres choses. Déteste les contrôles, les araignées et aussi un tas d’autres choses
♦.Comment trouvez-vous le forum ? ~ pas mal pas mal…je l’avais repérer mais je ne m’y été pas inscrit de peur qu’il coule très vite vu qu’il n’y avait pas beaucoup d’inscrit .Maintenant me voilà !!!
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